samedi 14 septembre 2013

Ô le monde de tes épaules

Arrivait que surgissent des câlins d’automne
Quand mes mains sur tes yeux et toi qui criais mais c’était pour pleurer
Surtout ne t’arrête pas berce moi de dedans jusqu’à la nuit frôlante
Si quoi tu titubais tout qui flanchait nous voilà beaux !
Cheveux mêlés aux chardons et tes jambes piquées
Urtiquant nos coeurs béants qui s’épanchaient et cela coulait
Douce, tu riais j’avais le front fendu et toi qui léchais tout ce fiel rose
Sérieuse tout à coup et la bouche maculée tu me disais de tous tes yeux
"Mais tiens toi bien !"
J’avais
Soudain
Si peur
Que tu me rendes à mes parents…

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