Grâce à Dieu qui existera
C'est sûr, j'en mettrais
La main de mon pire
Ennemi à couper
Ô l'ombre fauve des désirs mal torchés
Laisserons palpiter je serai
Dans les replis de soie
Le sombre excipit
Qu'exsudent les excès
De tes désirs sombres
Dans les replis de toi
Et sur les doigts si loin
Ce parfum de mélasse que ne dissipent
A nos flores organiques
Tu viens ?
Je ne désire rien
(Sur l'aire des cigognes)
Qu'un brin de méridienne
Pour apaiser les liens
Neuroniques enflammés
De pâquerettes flouées
Qui ne demandaient rien...
mardi 6 mars 2012
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