Et ces jardins qu'on avait embrasés
Toutes ces arches effondrées
Dans des petits matins trop frais, sans
toit
Bourgeonnent encore.
De l'espace nous parvient
Un signal de l'autre rive inhabitée de
nos vies,
Lointaine comme un écho mouillé
Jonchée de nos passions
Regain de frissons dans les demi-sommeils
Entends ces voiles franches dans le brouillard hurlant
Qu'on s'aimait tant
Car voilà lorsque je serai archi mort de tout
Et dérouté
De toi
Mais tout dépend de ce qu'on entend
Par l'au-delà
Tu me manqueras encore
lundi 11 août 2014
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