Comme hurlent les chiens aux lunes argentines
Décoction de tes nuits,
Le son de ton silence.
Qu’en inspirant tes sangs juste au fond de taorte
J’agraisse ton souffle-fil en tranches fines et fougueux,
Puis contournant cette omoplate saillante de tes eaux
Voilà c’est des jabots imagine sinon quoi
Les pépins de seins frêles où se surligne
En un douteux clic gauche de ta peau fière
Tes rimels s’entrouvrent et mes rimes, elles, s’en trouvent
De cette gaucherie-là qui dilue tes magies
C’était donc là que sonnait le glas de ces comas-ci,
Tu cervelais profond ?
Ce que peu me chauffe
Je prends ton pied et tu surcoules va !
Comme un vaisseau sombrant dans le noir supermal
Lacryphile oblivion pose ton avion
Tu es bien sur ma piste, dès lors suis droit
Ces spermaliens tatoués tu ne sais plus chez où
Mais tu t’en fous. De qui tu suppliscies que ça t’empale chaud-froid
Enfin tu souffres que je t’ouïsse scintillantes gémitations
Dévoile tout surtout, pas de ris sur l’embaume des sublimes lactances
Et ces sentes de sel
Que je lape à tes joues.
dimanche 29 septembre 2013
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