Quand j’aurai trente ans de moins,
Je coucherai les écorchures
Des champs fleuris de nos amours
Dans des cocons de soi
De nous -te souviens-tu de nos épaules
Quand elles se frôleront ?-
Qui écloront vingt ans plus tôt
Et par le cri primal
De la terreur parturiante
Je rendrai
Mon premier souffle
dimanche 18 août 2013
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